Toujours débutante en couture, j’ai découvert ce livre à la bibliothèque et j’ai fini par l’acheter. Franchement, 3 semaines de prêt de bibliothèque avec tout ce qu’il y a dedans, je ne pouvais pas tout faire aussi rapidement!
Je vous le partage car il y a des petits projets bien sympas à faire pour une débutante. Mais si vous êtes vraiment débutante, il va falloir vous aider de quelques petits tuto Youtube.
1 – Choix du tissu Ma fille m’a demandé de lui coudre le kimono. Elle s’est trouvé un joli tissu « Katia » au Club tissus. Moi, j’ai pleuré un petit peu parce que le prix de ce tissu dépassait un peu le budget que je m’étais fixé. Ah, mais qu’est-ce qu’on ne ferait pas pour ses enfants!
Tissu Katia
C’est un coton, tissus non extensible. Je voulais m’entraîner à poser du biais alors je ne me suis pas ajouté une couche de difficulté en ajoutant un tissu extensible :p
2- Le patron
Le livre dit que ce sont des modèles sans patron. Cependant, je me suis créée un patron car j’ai l’intention de reproduire le modèle éventuellement.
J’ai volé le rouleau de papier IKEA de mes enfants (shutttttt) et j’ai commencé à tracer. Et je me suis pris des notes dans mon petit cahier.
3 – Étapes de couture
Découper les 3 morceaux de tissu et les épingler entre eux, endroit contre endroit.
Épingler endroit contre endroit
Il faut coudre les 2 côtés et le haut.
Alors, quand on débute, ça peut être compliqué de coudre en arrondi. Prenez votre temps. Faites une couture au point droit puis en zigzag pour surfiler.
Couture au point droit
Couture au point zigzag
Ouvrez les coutures. C’est-à-dire qu’il faut les repasser pour qu’elles soient bien à plat.
Il faut faire un ourlet rentré au niveau des manches et du bas. Ils disent de faire un point droit à 2 mm du bord intérieur… On fait comme on peut, hein?! Je suis peut-être plus à 3 mm que 2!
Plier le tissu sur 1 cm et repasser
Replier le tissu sur 2 cm et repasser
Coudre près du bord intérieur
Si vous voulez le tuto pour coudre, c’est ici: (Ils appellent ça un « ourlet double » dans la vidéo)
Poser le biais C’est vraiment la difficulté de ce vêtement. En même temps, si on aime souffrir (!) et qu’on veut s’entraîner, c’est parfait! L’avantage, c’est qu’il est possible d’utiliser un pied de biche spécial pour poser le biais. Yéééééé, je suis contente! J’ai pu utiliser mon nouveau jouet.
Pied pour pose de biais
Galérer dans le col à la pose
Le pied est super pratique. Par contre, je vous conseille d’aller doucement en piquant l’arrondi du col parce que c’est galère.
Petit conseil de débutante, parce que je me suis faite avoir (évidemment), faites attention à ce que votre couture soit bien ouverte au niveau du pli du col. Sinon, votre biais ne sera pas bien posé et ça ne sera pas joli en dessous.
Voici la vidéo qui m’a aidée à utiliser le pied spécial biais.
Et voilà le résultat pour la couture du biais!
Biais posé
C’est beau hein?!
Résultat final du Kimono!
L’ado veut le porter cet été sur un petit débardeur ou au bord de la piscine. On verra ce que ça donne :p
Je suis débutante et pour me simplifier la vie, j’ai décidé de me coudre une robe rétro. Tsé, quand t’as déjà pas assez de défis dans la vie que tu t’en rajoutes une couche!
Bref, j’ai trouvé ce patron de robe, la Butterick B4790. Il y avait écrit « très facile » dessus, alors je l’ai acheté, hein?!… Ahahah! 😀 Pis, c’est vrai qu’elles sont élégantes les dames sur la pochette! #naivete
J’avais aussi un tissu en réserve que j’aimais beaucoup. Je l’ai acheté il y a 2-3 ans au Club tissus.
Voici mon pas à pas pour débutante si vous voulez me suivre.
Leçon numéro 1: ne jamais se fier au patron de la robe pour la facilité quand on débute.
« Très facile » Ahahahah
Leçon numéro 2 : faire des recherches sur le web, oui mais pas trop Puis, j’ai commencé à faire des recherches sur des sites web, des blogues, Youtube, etc. pour trouver des couturières qui avaient déjà réalisé cette robe. C’est vrai que c’est bien de chercher des conseils mais… L’horreur! J’ai trouvé tout et son contraire, principalement, en anglais. Déjà que je ne suis pas très familière avec tous les termes de couture en français, il a fallu que je me débrouille avec l’anglais #facepalm .
Leçon numéro 3 : quoi faire avec tous ces apprentissages? Grosse panique à bord! Après avoir tout lu et regardé concernant cette robe. J’ai eu une grosse panique. Beaucoup recommandaient de modifier le patron…. QUOI??? Euh… c’est censé être très facile, je ne sais pas modifier un patron, moi!
Aussi, certaines disaient que le biais pouvait donner l’allure d’une robe d’hôpital. OMG… Non, je ne veux pas ressembler à une infirmière des années 50, moi.
Il faut choisir son patron à la mesure « above-bust »… Après mesure, constat décourageant: « Oh non, je suis entre 2 tailles » 😦
Leçon numéro 4 : se lancer On va faire une étape à la fois et ça va bien aller… J’espère… Je croise les doigts… Je pleure un peu en dedans quand même. :p Mais je me lance! Go!
Étape 1 : décalquer le patron J’ai décidé de décalquer le patron pour pouvoir l’adapter pour moi. Malheureusement, nous sommes en confinement, je n’ai pas de papier à patron et ma boutique est fermée. Système D oblige, j’essaie le papier parchemin (à cuisson). J’ai détesté ça! Ça roule, ça s’étend mal et je ne parviens pas à coller les feuilles entre elles. Le scotch décolle tout le temps. Arghhhhhh! Finalement, j’ai pris la pochette de papier à décalquer de ma fille (shuuuuut!) et j’ai collé les feuilles entre elles. G-É-N-I-A-L !
Étape 2 : couper le tissu Est-ce que j’ai besoin de vous dire que j’ai vérifié 2-3 fois avant de couper?
Si vous avez regardé les références ci-dessus, vous avez vu que les couturières conseillaient d’ajouter du tissu au-dessus des bandes qui passent sous la poitrine. C’est ce que j’ai fait. J’en ai même ajouté plus plutôt que moins. Il est plus facile de recouper le tissu plus tard plutôt que de le rallonger!
J’en avais ajouté davantage que sur la photo ci-dessous au départ. Et j’ai ajusté après. Voici l’ajout final qui a été nécessaire:
Espace ajouté au dos supérieur
Découpe du tissu
Étapes 3 : On suit les étapes du patron maintenant? 2 – 3 : Le gros fun commence. Il faut coudre des pinces. Voici la vidéo qui m’a aidée à apprendre comment coudre les pinces simples et doubles.
et TADAM!!! Pas mal, non?!
Coudre des pinces
4 – J’ai piqué les pièces devant et dos inférieur. C’est long mais ce n’est pas spécialement difficile. Ce n’était pas précisé mais j’ai évidemment surfilé et ouvert mes coutures.
Surfiler les coutures
5 – Il fallait faire une piqûre de soutien… C’est quoi ça, « une piqûre de soutien »? Bon, il faut juste faire une couture sur le haut de la « jupe » pour qu’elle tienne bien. Facile!
6 – Coudre le devant et le dos inférieurs sur le dos supérieur. Là, on commence à s’amuser. Il faut cranter la partie inférieure pour que ça marche. J’ai aussi mis une tonne d’épingles pour ne pas que mon tissu plisse. Ça a bien fonctionné. Sinon, il faut bâtir… et je n’aime pas bâtir :p Je vous conseillerais de piquer doucement. J’ai pris mon temps et ça a beaucoup aidé.
Assemblage du haut et du bas de la robe
7 – Piquer le dos et le devant aux épaules Il n’y pas de difficultés majeures ici. J’ai surfilé et ouvert mes coutures ici aussi.
STOOOOP Je vous conseillerais de faire un premier essai de votre robe. Vous allez pouvoir vous rendre compte si la partie du haut du dos qui se rabat devant est bien ajustée pour vous. C’est ici que je me suis aperçue que j’avais trop de tissu et que j’ai recoupé un peu.
Recoupe de la partie qui se rabat sous la poitrine
(NB: Ne JAMAIS demander à votre conjoint d’épingler sur vous. Aïe, ça pique!)
On arrive à la partie du patron qui s’appelle « Ourlets, bordure et finition ». « Alléluia » me dis-je! J’ai bientôt fini… #naivete #encore
8 – Faire un ourlet bla bla bla… J’ai pas compris grand-chose aux indications. J’ai fait un ourlet rentré. Pis, ça marche :p
9 – Il faut suspendre la robe 24h. Ahahah! La mienne a été suspendue une semaine tellement j’avais besoin de prendre une pause :p
10 – Piquer à 1 cm du bord…. Yéééééééé! Ça, je suis capable!
11 – Faire un ourlet étroit. J’ai essayé. C’est pas le plus beau des ourlets étroits mais c’était mon premier, hein! #clemence
Couture d’un ourlet étroit
Voici le tuto qui m’a aidée.
12 – Border l’encolure avec le biais. Alors là, c’est la grosse éclate! Premier biais, première sueur. Je m’étais acheté un joli pied pour coudre mon biais. Mais si ce n’est pas pour coudre en ligne droite, oubliez-ça!
Pied pour coudre du biais
Alors finalement, j’ai cousu le biais de manière traditionnelle. Voici le tuto que j’ai suivi. Étrangement, le col n’était pas si difficile à poser. Il a juste fallu que je prenne mon temps.
13 – Coudre à points coulés, F-A-C-I-L-E !
14 – Border les côtés avec le biais C’est looooooong! C’est galère! J’en ai vraiment bavé avec les angles parce que ce n’était pas des angles droits. Mes coutures ne sont pas parfaites partout et j’ai loupé un angle. Cependant, je suis contente d’avoir réussi.
Voici le tuto pour les angles:
15 – Coudre à points coulés, F-A-C-I-L-E !
16 – 17 -18 – Durant ces étapes, ils nous demandent de créer une « bride » avec le biais. Personnellement, je n’aime pas beaucoup ça. Je trouve la « bride » trop épaisse. De plus, j’ai préféré coudre le biais en une étape plutôt que faire des raccords. Je me suis faite ma propre bride à la main. Je trouve ça plus discret.
J’ai également cousu le bouton pour attacher la bride. Parce que tsé, c’est quand même plus pratique! Il a fallu que je « décalle » un peu le bouton du bord. Le devant était légèrement trop large pour moi. Je me suis adaptée comme ça. De toute façon, cette partie n’est pas visible.
Couture du bouton
19 – Coudre des bouton-pression. J’étais contente d’arriver à cette étape. Vraiment contente!
22 – 23 TADAMMMMM! Voici ce que ça donne. Bon, ce n’est pas parfait! Mais j’espère avoir évité l’effet robe d’hôpital. J’adore déjà cette robe.
Avant et Arrière de la robe
Robe avec l’arrière rabattu et fermé à l’avant
Comment porter la robe?
Pour que la robe rende vraiment comme une robe des années 50, il faut la porter comme dans les années 50. Ainsi, je vous conseille de mettre une crinoline et un corset. La robe est quand même portable sans tout cet attirail 😉 Cependant, je vous avoue que c’est vraiment plus joli avec.
Jupon sous la robe 😉
Robe avec patron Butterick 4790
Petit ajout perso, j’ai cousu un bandeau pour mes cheveux avec le reste de tissu. Le tuto pour ce bandeau est ici.
Pour la petite histoire: Cette robe avait pour coutume de s’appeler la « walkaway dress ». Vous pouviez soi-disant la commencer le matin et la porter le midi. Pour dire vrai, je l’ai commencée un matin et je l’ai terminée un midi…. Mais je ne vous dirai pas de quelle(s) journée(s)! :p
L’hiver, toute la famille utilise du baume à lèvres en quantité industrielle… Dans ma recherche vers le plus naturel possible, voici la recette qui me convient le mieux. Elle est inspirée de celle de Lookdujour.ca. Cependant, je l’ai modifiée pour mes besoins. J’ai notamment diminué la quantité pour en faire moins à chaque fois. À cause de la conservation, je préfère en faire moins mais plus souvent.
Ingrédients: – 2 cuillères à soupe (30 ml) de cire d’abeille en pépites; – 2 cuillères à soupe (30 ml) d’huile de coco; – 1/2 cuillère à thé (2,5 ml) de vitamine E liquide; – Quelques gouttes d’huile essentielle de menthe poivrée ou autre (selon le goût).
Préparation: 1 – Mélanger la cire d’abeille et l’huile de coco. J’achète toujours de la cire en pépites pour la facilité, mais vous pouvez aussi la râper si elle vient en bloc. 2 – Faire chauffer le mélange 3 – Ajouter la vitamine E et l’huile essentielle. 4 – Faire de nouveau chauffer afin que le mélange soit bien liquide. 5 – Transvider dans des contenants pour baume à lèvres. Ça peut être aussi bien dans un petit pot ou dans un ancien bâton de baume à lèvres.
Avec cette recette, vous pouvez remplir environ 3-4 contenants selon leur taille. Faites attention à la conservation du mélange. Seule la vitamine E va aider à conserver le mélange alors contrairement aux préparations commerciales, vous devrez en changer plus souvent.
J’espère que aimerez cette recette autant que moi! 🙂
Voici encore une petite recette naturelle. J’ai les cheveux longs et en vieillissant, j’ai remarqué qu’ils ont tendance à se fragiliser plus vite. 😥
Bouteille de revitalisant maison
Voici ma recette de revitalisant naturel pour les cheveux. J’en fait un petite quantité à chaque fois afin d’éviter que le liquide se périme trop rapidement. Elle fonctionne sur mon type de cheveux et je ne suis allergique à aucun des composants. Je vous recommande de vérifier vos allergies avant de l’essayer.
Ingrédients : – 1/2 tasse d’eau distillée ou bouillie – 2 à 4 cuillères à soupe/table de lait de coco – 10-15 gouttes d’huile essentielle selon le goût. Lavande ou agrumes ou vanille.
Préparation : Si vous avez fait bouillir votre eau, laissez-là refroidir. Vous pouvez ensuite mélanger tous les ingrédients. Pour le lait de coco, vous pouvez mettre 2 cuillères à soupe pour les cheveux fins et vous pouvez aller jusqu’à 4 cuillères pour les cheveux épais et frisés. Versez le mélange dans un vaporisateur et c’est prêt! (Personnellement, j’ai utilisé un vieux vaporisateur d’un autre produit)
Vous pouvez vaporiser le mélange sur votre chevelure matin et/ou soir. Le produit aide au démêlage et à la brillance.
NB: Certains prétendent que la noix de coco et la lavande repoussent les poux. J’ai personnellement cherché ces informations et j’ai lu tout et son contraire. Je ne pourrais donc pas le confirmer. Cependant, si c’est le cas, peut-être que ce mélange pourrait aider à protéger nos petites têtes blondes? Allez savoir! :p
Je vous présente un petit tuto accessible aux débutantes comme moi. Je voulais coudre un sac pour l’été. J’avais envie d’un petit sac, pas trop gros pour mettre mon téléphone et mon portefeuille et pouvoir partir rapido.
Et quitte à faire, j’en ai fait un aussi pour ma fille. Elle commence à vouloir emmener ses petites affaires, son iPod, etc.
J’ai réalisé le mien avec un tissu qui ressemble beaucoup à du Liberty. J’adooooooooore ça. Et pour ma pépette, j’ai pris un tissu avec des lamas car elle a une fixation sur les lamas en ce moment. :p
Le tuto de Madalena, ci-dessous est super bien expliqué. Pour les débutantes, c’est parfait. Par contre, si vous n’avez jamais monté de fermeture éclair, je vous conseille de vous renseigner avant. Son explication peut être un peu trop succincte pour savoir comment passer le zip. (Je vous mets la vidéo de la fermeture éclair en bas de l’article si vous voulez vous y référer.)
Sous la vidéo, je vous détaille aussi les défis que j’ai rencontrés et les modifications que j’ai faites au modèle.
1- Les galères
Tout d’abord, voici les galères que j’ai pu rencontrer.
– Le thermocollant Nous sommes en confinement, les magasins sont fermés. Bref, pour faire une histoire courte, je n’avais qu’un type de thermocollant sous la main et il était trop épais. Même si j’ai respecté toutes les consignes, que je n’ai pas mis de vapeur dans mon fer, que je n’ai pas « repassé », etc., je pense que mon tissu était trop mince pour mon thermocollant. Ainsi, vous pouvez voir sur la photo que le tissu est « gondolé ».
– Attention à la doublure! En surpiquant la première fermeture éclair, je n’ai pas assez tendu la doublure intérieure. Ça gêne un peu à l’ouverture et à la fermeture. Comme vous pouvez le voir, il y a un petit décrochement au niveau de la doublure bleue. Heureusement, je suis allée lentement en réalisant le premier sac et j’ai pu faire attention pour coudre mes autres fermetures éclair par la suite.
– Le raccord de tissu Eh oui! En grande débutante, j’ai loupé le raccord des lamas. Pourtant, en découpant, je me suis bien dit qu’il fallait faire attention… et bim! J’ai oublié. Bon, ça ne se voit pas trop. Ça sera mieux la prochaine fois :p
2- Amélioration proposée J’ai cousu des sangles réglables plutôt que fixes comme dans le tuto de Madalena. Ce sera plus pratique. Cependant, bonjour la galère avec l’épaisseur des sangles pour coudre! Ça passait tout juste sous le pied.
Sangle réglable
Je vous joins également la vidéo que j’ai utilisée pour ajouter une sangle réglable.
NB: Et voilà un petit tuto supplémentaire pour poser vos fermetures éclair.
Je sais que les plus expertes en couture verront d’un coup d’œil tous les défauts de ce projet. Néanmoins, il faut bien apprendre quelque part, non? Alors, si je peux aider quelques débutantes avec mon expérience, tant mieux 😉 Bonne cousette!
S’il y a une recette pour laquelle j’ai été sceptique, c’est bien celle d’un déodorant maison.
En même temps, j’ai toujours été très méfiante vis-à-vis des déodorants antisudorifiques du commerce. Le lien aluminium-cancer du sein n’a jamais été formellement prouvé mais j’ai toujours eu une réserve. C’est davantage une réaction instinctive que j’ai décidé d’écouter plutôt qu’une décision basée sur des études fiables. :p
Bref, je ne croyais vraiment pas à l’efficacité d’un tel déodorant. Pourtant, sur les conseils d’une amie, j’ai essayé et ça marche! Mieux que ça, j’ai réussi à convertir mon conjoint qui était vraiment très très très réticent! Cette recette vient d’un autre site très intéressant. Néanmoins, je ne pouvais pas passer à côté de vous transmettre mes petits commentaires personnels.
La recette prend environ 5 minutes à réaliser. Le déodorant est efficace environ 2 mois car il n’y a pas d’agent de conservation.
Ingrédients pour déodorants
Ingrédients :
2 cuillères à soupe/table d’huile de coco
3 cuillères à soupe/table d’arrow-root (certains la remplacent par de la fécule de maïs)
3 cuillères à soupe/table de cire d’abeille en pépites
1 cuillère à soupe/table de bicarbonate de soude
8 gouttes d’huile essentielle de palmarosa
2 gouttes d’huile essentielle de patchouli (facultatif pour l’odeur)
Huile essentielle de palmarosa
Préparation :
Je vous conseille de préparer vos ingrédients à l’avance pour la rapidité d’exécution, avant que la cire d’abeille ne fige.
Faire fondre les pépites de cire d’abeille et l’huile de coco dans un récipient au micro-onde ou dans une casserole. Ajouter l’arrow-root, le bicarbonate de soude et les huiles essentielles. Bien mélanger.
Puis transvidez rapidement le mélange dans un ancien contenant à déodorant.
Il se vend aussi des contenants vide. J’ai préféré réutiliser un vieux contenant afin de recycler.
Personnellement, je ne mets pas le patchouli car je n’aime pas l’odeur et je ne veux pas qu’il se mélange avec mon eau de parfum.
Pour finir : Avec cette recette, je remplis la moitié de 2 déodorants. C’est largement suffisant. Si j’utilisais toute cette recette uniquement pour un déodorant, je n’aurais pas le temps de le terminer avant qu’il devienne inefficace.
Nous sommes actuellement confinés mais nous avons de la chance car au Québec, il fait suffisamment froid pour pouvoir faire sa propre patinoire dans la cour ou le jardin.
C’est la première année que nous préparons une patinoire pour les enfants. Elle est surtout utile pour le plus petit qui apprend à tenir debout sur des patins. S’il en a marre au bout d’un quart d’heure, on peut le rentrer à la maison pendant que les grands continuent à s’amuser.
Notre patinoire est donc basique. Pas de bande ni de marquage au sol pour nous cette année. Voici comment fabriquer votre propre patinoire.
1 – Trouver l’emplacement.
Il ne faut pas que votre terrain soit en pente, sinon, c’est beaucoup plus compliqué. Le nôtre est légèrement penché. Cependant, nous avons réussi à mettre la patinoire à niveau. Notre emplacement n’est pas très grand mais c’était la seule disponibilité, le reste du terrain étant trop penché ou occupé par la piscine ou la balançoire. :p
Emplacement de la future patinoire
2 – Délimiter l’emplacement.
Si vous avez beaucoup de neige à l’emplacement futur de votre patinoire, vous pouvez la pelleter pour qu’il reste environ 10-15 cm. Il faudra ensuite bien tasser la neige restante avec vos pieds et une pelle. L’important est que votre surface soit bien plate Utilisez la neige que vous avez enlevée pour construire un mur tout autour. Le mur doit mesurer environ 40-50 cm de haut. Arrosez la neige tassée pour qu’une légère épaisseur de glace se forme.
3 – Étendre une bâche.
Étendez, immédiatement après l’arrosage, une bâche sur le fond de votre patinoire. Celle-ci va ainsi adhérer à la petite couche de glace. Pour ma part, j’ai acheté une bâche blanche de 24′ x 40′ soit environ 7,32 x 12,19 m. Il faut bien étendre la bâche sur le fond de la patinoire et les côtés de la bâche doivent recouvrir les murets que vous venez de faire. Vous pouvez alors remettre un peu de neige sur les murets pour maintenir la bâche en place.
Muret de neige
Muret de neige avec la bâche
4 – Ajouter de l’eau.
Le jeu de patience commence. Il faut ajouter de l’eau petit à petit, par petites couches pour leur permettre de geler. Vous pouvez verser 2-3 cm d’eau au fond de votre patinoire et attendre que cette couche gèle bien (vers -7°c , -8°c). Une fois qu’elle est solide, rajoutez encore 2-3 cm. Puis attendez que cette deuxième couche gèle également. Et continuez jusqu’à atteindre une épaisseur totale d’environ 10-15 cm. Cela peut prendre plusieurs jours étant donné qu’il fait davantage froid la nuit.
Ajout d’eau sur la patinoire
5 – Votre patinoire est presque prête!
Ça y est! Vous pouvez commencer à vous amuser. Cependant, il va falloir créer votre propre zamboni pour refaire la surface de votre glace. Il y a plein de tuto Youtube sur comment faire votre Zamboni maison. Nous avons opté pour un modèle simple et facile parce que notre patinoire n’est pas très grande et parce que nous n’avons pas accès à l’eau chaude dans la cour. Attention! Notre modèle est vraiment TRÈS artisanal. Mais il suffira pour cette année!
6 – Zamboni maison très basique :p
Matériel nécessaire : – Un bac de plastique profond – Une serviette de toilette usagée – Du ruban adhésif – De la corde
Percez, le fond du bac de plastique, sur un côté. Vous pouvez faire plusieurs petits trous à la perceuse dans le fond. Les trous font environ 2-3 mm de diamètre.
Emplacement des trous au fond du bac
Puis, il faut attacher votre serviette de toilette sur le côté du bac. De notre côté, nous la faisons traîner sous le bac. Néanmoins, vous pouvez laisser trainer votre serviette seulement vers l’arrière.
Nous y avons également fixé une corde afin de pouvoir tirer le bac/zamboni plus facilement.
Et c’est pas plus compliqué que ça!
Une fois votre zamboni prête, vous pouvez verser un seau d’eau chaude à l’intérieur et commencer à préparer la surface de votre patinoire. L’important est passer votre zamboni quand il fait froid pour que l’eau gèle immédiatement après.
De jour, comme de soir, vous pouvez vous amuser! 🙂
Il n’est pas facile de savoir quoi acheter quand on débute en couture. Ici, je vous fais une petite liste de ce qui m’a été utile quand j’ai commencé.
Outre la machine à coudre, qui est quand même super importante, voici ce qui me semble ultra-nécessaire. Après, vous pourrez étoffer petit à petit votre trousseau.
1 – Le fil à coudre
Fil de couture
Vous pouvez acheter quelques couleurs de base et vous achèterez des nouvelles bobines au fur et à mesure de vos projets. Je vous conseille le fil Gütermann car il est très fiable. C’est l’idéal dans la machine à coudre pour ne pas avoir de casse ou de bourrage. J’ai essayé d’autres fils mais bonjour la galère!
2 – Les canettes
Canettes de fils
Il va vous falloir des canettes pour votre machine à coudre alors vous pouvez en acheter quelques unes pour commencer avec vos couleurs de fils. Mais évidemment, il va vous falloir une canette par type de fil.
3 – Les épingles ou les pinces
J’utilise les unes ou les autres selon mon projet. Alors, je vous conseille d’avoir les 2!
Épingles avec têtes
Je vous conseille des épingles avec des têtes de couleurs. C’est plus facile à trouver dans le tissu. Il vous faudra aussi le petit coussin pour les planter dedans. C’est tellement plus pratique que de les remettre dans leur boîte et de se piquer à chaque fois qu’on veut en prendre une.
Pinces
J’aime utiliser les pinces pour coudre du pul ou les fermetures éclair. Certaines couturières les utilisent pour tout. D’autres les aiment moins. C’est selon vos goûts 🙂
4 – Les ciseaux
Des bons ciseaux à tissu qui coupent bien. C’est ultra-nécessaire pour avoir des belles coupes de tissus.
5 – Le coupe-fil
Coupe-fil
Au début, je ne l’avais pas acheté car je me disais que les ciseaux feraient l’affaire. C’est vrai… Mais le coupe-fil est tellement pratique et il offre tellement plus de flexibilité pour couper le fil au ras du tissu. Un must à avoir.
6 – Le découseur
Découseur
Évidemment, quand on commence à coudre, on coud… Mais on découd aussi 😉 Alors pour se faciliter la tâche, le découseur est ultra-utile
7 – Quelque chose pour tracer
Stylo Frixion
Afin de couper votre tissu, il va falloir tracer. Ici, vous avez le choix. Ça va dépendre de votre projet, du tissu utilisé et de ce que vous préférez. Quand ce n’est pas visible, vous pouvez tracer avec un stylo bille classique ou un crayon de papier. Sinon, vous pouvez utiliser de la craie de traçage ou une craie très classique. Et enfin, vous avez les stylos Frixion. Ce sont des stylos effaçables. Certaines couturières leur reprochent de laisser des traces. Je n’ai jamais expérimenté ce problème mais je vous laisse essayer. Vous pouvez faire les marques que vous voulez sur votre tissu, elles disparaitront après un coup de fer à repasser! C’est magique.
8 – Tapis de découpe et règle
Tapis de découpe
Pour ne pas abîmer votre table, je vous conseille de couper et d’épingler votre tissu sur un tapis de découpe. Malheureusement, je trouve le mien trop petit. Alors n’hésitez pas à en acheter un grand, surtout si vous pensez vous lancer dans des vêtements rapidement.
Règle
Évidemment, il vous faudra une règle pour couper droit! Voici avec quelle règle j’ai commencé. Elle allait bien pour le début mais vous pouvez rapidement vous diriger vers une règle plus grande et transparente.
9 – Couteau rotatif de découpe
Le couteau rotatif de découpe est le petit supplément qui change la vie. Vous pouvez faire vos découpes avec vos ciseaux sans problème. Cependant, il s’avère parfois très pratique.
Couteau rotatif
Vous avez découvert tous les outils qui m’ont été utiles au début. Puis, petit à petit, j’achète de nouveaux outils. Je vous invite à faire de même. Commencez petit pour voir si vous aimez ça et vous pourrez vous équiper de plus en plus par la suite. Bonne cousette 🙂
Après la lessive pour le linge, j’ai décidé de fabriquer mon propre nettoyant ménager. J’en avais assez d’acheter des tas de produits nocifs différents pour la cuisine, la salle de bain, etc.
Voici la recette qui me convient le mieux. Elle est à base de savon noir et je l’ai trouvée sur savon-de-marseille.com.
Ingrédients pour nettoyant ménager tout usage Crédit: MMB
Ingrédients
Savon noir liquide
Bicarbonate de soude
Pulvérisateur d’un litre
Préparation
Faire chauffer un litre d’eau. Y ajouter un cuillère à soupe de savon noir et une cuillère à café de bicarbonate de soude.
Bien mélanger. Attendre que ça refroidisse un peu avant de transvider la recette dans le pulvérisateur. Il ne faudrait pas se brûler!
Vous pouvez utiliser le produit sur toutes les surfaces lavables. Il faut bien le mélanger avant utilisation. Cependant, je vous recommanderais de faire un essai dans un petit coin de la surface à nettoyer pour vérifier si ça ne fait pas de dégât.
Pour le moment, je l’utilise pour mes comptoirs et armoires de cuisine, mon évier, ma salle de bain (lavabo et baignoire). J’ai même réussi à retrouver la blancheur des joints de céramique avec une éponge à gratter. C’était, pour moi, le test ultime! :p
Coût de revient
J’ai acheté cette bouteille de savon noir à 23 $ pour un litre. Si on considère qu’on met une cuillère à soupe de 15 ml par mélange, vous allez pouvoir faire plus de 66 litres de produit. Cela vous revient donc à 0,35 $ du litre. En ajoutant le coût du bicarbonate de soude, on pourrait calculer le prix de revient total d’un litre de produit nettoyant maison à environ 0,45 $. CQFD ! Et en plus, c’est bon pour la planète ;).
J’ai décidé de me remettre à l’aquarelle. Cela faisait des années que je n’avais pas touché un pinceau… Attendez, ma fille a 11 ans. Ben c’est ça! Ça fait fait au moins 11 ans que je n’avais pas touché un pinceau.
Mais savez-vous quoi? Malgré 4 déménagements, j’avais toujours ma petite boîte avec mon matériel. Je dois avouer qu’il était un peu défraîchi. Cependant, j’ai tout dépoussiéré et j’ai recommencé.
Évidemment, je dois tout réapprendre. Mon cerveau de poisson rouge a tout effacé. Ce qui est bien, c’est qu’à l’époque, j’avais essayé d’apprendre avec des livres. Maintenant, il y a les tuto Youtube! C’est fabuleux! Rien de mieux pour apprendre à doser l’eau.
J’ai commencé à suivre des tutos faciles pour apprivoiser l’aquarelle. Et comme Noël approche, je me suis grandement inspirée du web pour faire des cartes de Noël à mes proches. Mais attention, comme je suis des tutos, je garde cette activité pour une utilisation personnelle. Il est hors de question de vendre quoi que ce soit en « copiant » des artistes en ligne. Je n’ai pas encore mon propre style alors je garde cette activité pour moi, comme activité de détente.
J’adore cette activité car:
Ça demande peu de matériel.
L’investissement est moindre (sauf si vous achetez du matériel de pro en commençant!).
Ça prend peu d’espace. Un petit coin de table ou de bureau et c’est parti!
On peut faire des petites séances si on n’est pas trop ambitieux. Alors ça ne prend pas trop de temps si on a des enfants.
Ce n’est pas exhaustif mais voici quelques artistes que je vous recommande:
L’important est de vous amuser. N’hésitez pas à vous lancer. Au pire, vous allez seulement gâcher une feuille de papier avant de recommencer! Have fun 🙂